La diversification agronomique (agroforesterie, Eco-pâturage, vigne service, cépages autochtones, …) et de nouvelles pratiques agro-environnementales (limitation des intrants,) semblent essentielles afin de répondre aux contraintes liées au changement climatique et au respect de l’environnement.
Diminuer les besoins en énergie, Développer la viticulture de conservation, Diminuer les besoins en eau, Préserver la qualité de l’eau …
Pourrait-on tester de nouveaux systèmes de diversification agronomiques intégrant des pratiques agroenvironnementales qui répondent aux enjeux mentionnés ?
La réflexion peut-elle s’étendre de la parcelle, à l’exploitation et au territoire ? Ce défi peut-il intégrer aussi les co-produits éventuellement issus de la culture de la vigne et des systèmes mis en place ?